Vivre avec l'ombre et la lumière : le paradoxe de Stockdale
Nous vivons actuellement dans un monde où tout ce qui est négatif doit être rejeté au profit du positif uniquement. Ce postulat m'a amené à m'interroger sur ma posture : suis-je plutôt optimiste ou plutôt pessimiste ? Dans ma vision manichéenne provocatrice, j'ai d'un côté la sensation qu'il y a une frange de la population baignée d'un pessimisme morose qui fait qu'elle aborde la vie avec langueur, se disant que "tout ce qu'on fait ne sert à rien". Et à l'opposé, il y a les irréductibles optimistes toujours présents quoi qu'il arrive pour dire que "tout va s'arranger", que "c'est transitoire et regarde le bout du tunnel est proche !". Dans mon immense accueil inconditionnel de l'Etre Humain sous toutes ses formes (faites comme je dis, pas comme je fais 😆 ), eh bien les deux polarités m'agacent ! Se complaire dans ses jérémiades n'a jamais rien fait avancer et voir le positif constamment sans